samedi 12 janvier 2013

LE SALAR


Cette étendue de sel est située à 3658 m avec une superficie de 12500 km²
Elle constitue le plus vaste désert de sel du monde et représente un tiers des réserves de lithium exploitables de la planète
Sa formation remonte à 10000 ans lorsqu'un lac préhistorique géant s'est asséché.



La carte du salar

 Le salar qui s'étend devant, à coté et derrière nous

 Nous apercevons le village où nous allons passer 2 nuits

 Le 4X4 garé devant la maison

 Un pend de mur qui bien sur est en briques de sel

 Le mur de la salle commune très bien décoré. Il a été notre plus bel hébergement avec des gens très charmants

 A cause du recensement nous avons une journée de repos.
 Voici le volcan où nous allons monter
Notre guide a réussi à nous trouver un accompagnateur malgré le recensement pour notre randonnée et à pu négocier de nous conduire sur 300 m de chemin en retour

 Une petite pose durant la montée

Ce n'est que des pierres qui roulent sous les pieds et j'ai le mal de l'altitude qui me prend, jusqu'à maintenant je ne l'avais pas eu . Nous nous arrêtons donc à 4800 m et attendons les jeunes et le guide qui eux sont montés jusqu'à 5400 m. Ils nous ont dit en nous rejoignant que les derniers mètres avaient été durs entre la fatigue, l'altitude et les pierres qui n'arrêtaient pas de se dérober sous leurs pieds

 Une vue du salar et de notre village depuis une halte lors de notre descente
inutile de vous dire que lorsque nous sommes arrivés à notre habitation nous nous sommes écroulés car là nous sommes redescendus jusqu'en bas après 6h30 de randonnée

Le lendemain départ 5h30 pour assister au lever du soleil sur ces plaques géométriques faites par la croûte de sel et nous diriger ensuite vers l'arrêt du petit déjeuner.

Nous nous arrêtons donc à l'île d'Incahuasi, recouverte de cactus candélabres de 10 à 12 m, dont certains sont âgés de 1200 ans, d'où son surnom d'île aux cactus. 
Il y a une trentaine d'îles, celle ci est la plus touristique
Comme vous pouvez le voir nous ne sommes pas tout seul. C'est la première fois, notre guide nous ayant toujours trouvé des habitations où nous étions seuls

Une vue du salar depuis le haut de l'île
On dirait des sentinelles qui veillent dessus

 Un bel oiseau que les piquants du cactus ne gène pas.

 Un beau spécimen

Nous prenons tranquillement notre petit déjeuner sur une table de sel évidemment, puis nous reprenons la voiture pour quelques séances de photos en trompe l'oeil

Eh hop qui sautera le plus haut.

 Attention Bernard, je vais te croquer!!

 Le 4X4 n'est vraiment pas lourd, on le soulève!!

Nous nous arrêtons après cette séance photo à un hôtel où l'extérieur et l'intérieur sont en sel


L'entrée de l'hôtel

Le rond point devant avec les drapeaux de plusieurs pays et le notre y est présent

 Une statue d'un lama en sel bien évidemment

 Le salar n'est pas que touristique. Des hommes et des femmes y travaillent.
Les tas de sel qui attendent d'être chargés sur des camions et ensuite transportés en Argentine et Chili
La production annuelle d'environ 25000 tonnes ne risque pas d'épuiser les 64 milliards de tonnes estimées du gisement. L'épaisseur du sel varie de 2 à 120 m suivant les endroits.
C'est un circuit qui nous a beaucoup plu, d'autant que nous nous sommes très bien entendus avec Flavie et Damien et le guide
Ce salar avec ses îles et ses montagnes qui font un contraste de couleur est inoubliable
Nous avons beaucoup apprécié la Bolivie
Nous reprenons la route pour  Uyuni où nous prenons notre dernier repas ensemble. Nous récupérons nos sacs et eux repartent avec le guide sur Tupiza où ils ont laissé les leurs
Nous voulons prendre les billets pour La Paz à une compagnie que l'on nous avait indiquée, il n'y avait pas de départ le soir. Nous nous rabattons donc sur une autre compagnie "Omar". Le car est vétuste (ils en avaient deux au départ on est monté dans le mauvais). Il tombera en panne plusieurs fois, repartira (Bernard pense que s'est l'arrivée de gasoil car le moteur s'arrête) après quelques minutes de bricolage.
Il finira par tomber complètement en panne en arrivant à l'Alto banlieue de La Paz (heureusement). Nous prendrons un taxi à plusieurs et arriverons enfin à notre ancien hôtel, l'heure de notre correspondance pour Lima étant dépassée.





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