dimanche 5 juillet 2015

CUBA FIN du 28 mars au 23 mai

Le vendredi 22 après midi nous quittons Cayo Campos. Christian ayant relevé le passage non balisé entre quatre patates de corail avec l'annexe, il passe devant et nous suivons bien sagement. Il n'y a pas de vent, l'eau est cristalline, des conditions idéales car à un moment le sondeur nous annonce 1,60m et nous calons 1,50m. Bernard "serre les fesses et les crabes baissent la têtes" enfin s'il y en a. Tout se passe bien la hauteur d'eau remonte et nous passons la barrière vers notre dernier mouillage derrière une barrière de corail en face de l'île de la Juventus où là il y a des autorités. Si les autorités de cette île avaient pu nous faire notre sortie internationale nous y serions allés mais ce n'était pas le cas.
Le samedi nous nous reposons car dans la nuit nous avons subi un gros orage, avons rallongé de la chaîne et pas très bien dormi.

Le dernier coucher de soleil du sol cubain

Un petit compte rendu de nos appréciations
Nous avons beaucoup aimé ces deux mois  passés sur l’île de Cuba aussi bien à terre La havane et les autres villes qui nous ont appris sur le mode de vie des cubains et l’histoire de Cuba, que sur mer dans les Cayos avec les rencontres des pêcheurs et des gardes. Nous n’avons rencontrés que des gens souriants et serviables bien qu’ils ne possèdent pas grand chose, toujours prêt à vous rendre service et à engager le dialogue avec nous grâce surtout à Maryse qui parle très bien l’espagnol. Les moyens de transports nous ont un peu renvoyés dans les années 50 surtout toutes ces voitures américaines. Les points noirs c’est le manque de communication avec l’extérieur par internet, très peu de cyber, cher et fonctionnant au ralenti. L’autre c’est la paperasserie, quand nous entrons, le médecin monte à bord si c’est bon ensuite viennent le gars de l’anti drogue avec le chien, le douanier et le garde côte après cela vous avez le droit de mettre le pied à terre, ensuite ce fameux « despacho » qui nous suit tout le long de notre séjour avec à chaque fois le garde côte à bord et à la sortie du pays comme à l’entrée. Ces deux points désagréables ne nous ont pas gâché notre séjour  sur le sol cubain, c’est comme cela et il faut l’accepter sinon on ne reste pas ce qui serait très dommage
Voilà fin et au revoir Cuba

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