Nous
avons quitté San Andrès le vendredi 08/01,sommes arrivés le
dimanche 10 et avons parcouru 220M en 44h. Nous avons fait
pratiquement tout à la voile avec une mer peu houleuse. Vu que nous
n'avions plus d'AIS il a fallu être vigilant en arrivant près de
Panama à cause du trafic des cargos. Le soleil s'est levé lorsque
nous avons mouillé à Portobelo. Nous avons été enchantés de
cette navigation qui n'avait rien à voir avec celle de Guanaja
Providencia
Au
mouillage nous avons retrouvé le cata « Lady Athéna »
Jean Louis et Jocelyne que nous avions connu au Rio Dulce, étant
venu ici pour récupérer l'oncle de Jocelyne.
Nous
y sommes restés deux jours et ensuite sommes partis avec nos amis
jusqu'à l'île Linton.
Là
nous avons pris nos annexes et sommes allés par la mangrove à
Panamarina manger une bonne entrecôte et voir car nous voulons y
revenir et laisser le bateau pour aller visiter Panama.
Le
lendemain nous sommes partis pour Porvenir à l'entrée des San Blas
afin de faire notre entrée et eux ont continué ayant déjà fait la
leur.
PORTOBELO
C'est
un petit village où il n'y a pas grand-chose, juste un peu
d'avitaillement chez un chinois, quelques hôtels et restaurants, pas
de distributeur de banque. La population vit de la pêche, du
commerce et un peu du tourisme. La baie est très bien abritée. Elle
est entourée d'anciens fortins qui datent de l'histoire coloniale
des Amériques
Les ruines des fortins qui entourent la baie
Une partie du mouillage et le ponton où nous attachions l'annexe
L'autre partie du mouillage avec l'entrée de la baie
Une place à l'intérieure des ruines avec sa boutique artisanale
Une des rues
Le bar restaurant où nous allions pour internet
El Cristo Negro (Christ Noir) est une statue de bois noir d'1,50m de haut à l'intérieure de l'église San Felipe. Elle aurait été trouvée en 1658 par des pêcheurs du village dans une caisse jetée à la mer par les marins d'un navire espagnol sur le point de faire naufrage. Ils avaient fait déjà six tentatives sans succès et après avoir jeté la caisse ils purent sortir. Les habitants ont vu là le signe que ce Christ voulait rester au village
Une partie du mouillage et le ponton où nous attachions l'annexe
L'autre partie du mouillage avec l'entrée de la baie
Une place à l'intérieure des ruines avec sa boutique artisanale
Une des rues
On retrouve les diables rouges typiques ici aussi. On peut soit le prendre ou un bus plus traditionnel pour aller à Colon faire les courses, il faut une heure et demi pour y arriver
El Cristo Negro (Christ Noir) est une statue de bois noir d'1,50m de haut à l'intérieure de l'église San Felipe. Elle aurait été trouvée en 1658 par des pêcheurs du village dans une caisse jetée à la mer par les marins d'un navire espagnol sur le point de faire naufrage. Ils avaient fait déjà six tentatives sans succès et après avoir jeté la caisse ils purent sortir. Les habitants ont vu là le signe que ce Christ voulait rester au village
En 1821 une épidémie de choléra à touché Panama seule Pörtobelo fut épargnée. Ils attribuèrent ce miracle au Christ et depuis célèbrent l'évènement tous les ans le 21 octobre
L'ÎLE LINTON
Nous avons fait une halte à l'île Linton appelée également l'île aux singes car
aucun habitant, seulement les singes.
Nous sommes descendus à terre et n'avons pas eu la chance de voir les singes ils s'approchent du rivage pas tout le temps.Un ami à nous avait eu la chance de les voir
La marina en construction avec son travelift qui pourra sortir des bateaux jusqu'à 200 tonnes
Nous avons pris le petit chenal à travers la mangrove qui relie l'île Linton à Panamarina qui est une marina bien protègée par la mangrove, tenue par des français Sylvie et Jean Claude. Il n'y a pas de ponton seulement des bouées et à terre il y a tous les services.
Nos amis arrivant au ponton pour les annexes de la marina
Le restaurant où nous avons mangé une très bonne entrecote frites. Nous avons vu pour revenir et laisser le bateau pour aller visiter Panama plus tard
Le batiment des autorités où nous avons fait notre entrée
Le ponton des autorités
L'aérodrome
Ici pas de tondeuse tout se fait à la machette
Le petit musée, nous n'avons pas vu l'intérêt d'y entrer
Les chambres de l'hôtel de chaque côté de l'espace de verdure
Ils sont faits de plusieurs couches de tissus de couleurs
différentes assemblés par couture. Ces tissus sont ensuite découpés aux ciseaux ce qui fait apparaître des dessins par différentiels de couleurs.
C'est la technique dite d'appliquée inversée utilisée au XVIéme siècle
par les Huguenots. Ce sont les femmes Kunas qui les font.
Une fois notre entrée effectuée nous avons mis le cap sur l'archipel des San Blas
LES SAN BLAS
La marina en construction avec son travelift qui pourra sortir des bateaux jusqu'à 200 tonnes
Nous avons pris le petit chenal à travers la mangrove qui relie l'île Linton à Panamarina qui est une marina bien protègée par la mangrove, tenue par des français Sylvie et Jean Claude. Il n'y a pas de ponton seulement des bouées et à terre il y a tous les services.
Nos amis arrivant au ponton pour les annexes de la marina
Le restaurant où nous avons mangé une très bonne entrecote frites. Nous avons vu pour revenir et laisser le bateau pour aller visiter Panama plus tard
PORVENIR
C'est
la première île des San Blas où ce trouvent la douane,
l'immigration ainsi que le congrès Kuna et c'est là que nous avons
fait notre entrée.
Il y
a un hôtel, un restaurant, un aérodrome d'où partent des petits
avions pour Panama, quelques épiceries.
C'est
le point de départ pour les excursions à l'intérieure de
l'archipel des San Blas
Le ponton des autorités
L'aérodrome
Ici pas de tondeuse tout se fait à la machette
Le petit musée, nous n'avons pas vu l'intérêt d'y entrer
Les chambres de l'hôtel de chaque côté de l'espace de verdure
Un étalage de molas Kunas Yala
Une fois notre entrée effectuée nous avons mis le cap sur l'archipel des San Blas
LES SAN BLAS
Kuna
Yala constitue le premier territoire autonome (commarca) amérindien
des Amériques
Une
bande de terre de 200kms de long sur 15kms de large sur la cote
caraïbéenne associé un archipel corallien d'environ 365 îles dont
une quarantaine sont habitées
Les
îles lointaines ne sont habitées que part quelques familles dont la
présence a pour d'empêcher le vol des noix de coco qui ont
longtemps constitué l'une des principales sources de revenus de la
communauté et de nombreuses îles pratiquent encore la monoculture.
Aujourd'hui la coco est encore utilisée comme monnaie d'échange
avec les marins colombiens ainsi que le mola
Quelques mouillages dans des îles différentes
Nargana où l'on trouve de l'avitaillement et où nous sommes descendus
Le ponton de débarquement
La place
Le pont car la ville est coupée par un bras de mer
L'autre coté
Le super marché
La rivière que nouq avons remonté avec l'annexe pour aller chercher de l'eau douce
Les Kunas y vont pour leur propre consommation et pour également la revendre aux plaisanciers
Les bouteilles remplies, on en profite pour nettoyer l'annexe. Nous étions avec nos amis de "Lady Athéna"
Une rue du village de Tigre où là aussi nous avons passé un moment
L'école
L'intérieur de la case de notre copain Kuna Léo, ici pas d'armoires tout est pendu
Bernard et Léo
La piste de l'ancien aéroport
Les gites qu'ils louent aux touristes
Le départ de pêcheurs venus nous vendre des crabes
Le "petit" crabe
Les îles Holandes est où là aussi nous sommes restés un petit moment
Le mouillage vu de l'île
Des cases
Un groupe de joyeux petits lurons qui ont voulu être pris en photos
On vaque à ses occupations la jeunes habillé à l'européenne et l'ancienne en costum(e traditionnel
Cette jeune femme me met un wini (bracelet fait avec des perles) qu'elles portent sur les bras et les jambes enfin surtout maintenant les anciennes. C'est tout un art pour l'installer
Voilà nous avons fait un premier petit tour et nous sommes revenus à Panamarina tenue par les français Sylvie et Jean Claude Orlando afin d'y laisser Sonate pour aller faire le canal en équipiers et visiter Panama City
Le terrain où les bateaux sont à sec
Les bateaux à l'eau sur bouées car il n'y a pas de ponton
La cabane du gardien de nuit
Les ateliers
Le bar
Le barbecue
Sylvie la propriétaire avec un client
Stéphanie la secrétaire
Nargana où l'on trouve de l'avitaillement et où nous sommes descendus
Le ponton de débarquement
La place
Le pont car la ville est coupée par un bras de mer
L'autre coté
Le super marché
La rivière que nouq avons remonté avec l'annexe pour aller chercher de l'eau douce
Les Kunas y vont pour leur propre consommation et pour également la revendre aux plaisanciers
Les bouteilles remplies, on en profite pour nettoyer l'annexe. Nous étions avec nos amis de "Lady Athéna"
Une rue du village de Tigre où là aussi nous avons passé un moment
L'école
L'intérieur de la case de notre copain Kuna Léo, ici pas d'armoires tout est pendu
Bernard et Léo
La piste de l'ancien aéroport
Les gites qu'ils louent aux touristes
La
maison du congrès local (casa de congreso) constitue le cœur de la
vie politique et administrative de chaque communauté
C'est
dans ces grandes maisons communales en bois bambou et palme que sont
prises démocratiquement toutes les décisions relatives à la
culture, la religion et au patrimoine du peuple
L'autorité
la plus influente le « Sahila » prend place dans un hamac
pour diriger le congrés en compagnie du Argagana (porte parole) et
du Sualibedi (gardien de l'ordre).
Les
hommes et les femmes du village prennent place sur les nombreux bancs
La charpente du congresoLe départ de pêcheurs venus nous vendre des crabes
Le "petit" crabe
Les îles Holandes est où là aussi nous sommes restés un petit moment
Le mouillage vu de l'île
Des cases
Un groupe de joyeux petits lurons qui ont voulu être pris en photos
On vaque à ses occupations la jeunes habillé à l'européenne et l'ancienne en costum(e traditionnel
Cette jeune femme me met un wini (bracelet fait avec des perles) qu'elles portent sur les bras et les jambes enfin surtout maintenant les anciennes. C'est tout un art pour l'installer
Voilà nous avons fait un premier petit tour et nous sommes revenus à Panamarina tenue par les français Sylvie et Jean Claude Orlando afin d'y laisser Sonate pour aller faire le canal en équipiers et visiter Panama City
Le terrain où les bateaux sont à sec
Les bateaux à l'eau sur bouées car il n'y a pas de ponton
La cabane du gardien de nuit
Les ateliers
Le bar
Le barbecue
Sylvie la propriétaire avec un client
Stéphanie la secrétaire
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